100 PRINCIPES POUR L'ÉCOLE - Plan
GENÈSE D'UN LIVRE - Ré-écriture d'un entretien avec Edgar Morin - LE CANTIQUE DES CANDIDES -
PRINCIPES ISSUS DE LA THERMODYNAMIQUE - PRINCIPES ISSUS DE LA BIOLOGIE - PRINCIPES ISSUS DE LA SYSTÉMIQUE
PRINCIPES ISSUS DE LA NEUROBIOLOGIE - NÉCESSAIRE ÉMERGENCE DE NOUVELLES VALEURS - PRINCIPES PÉDAGOGIQUES
PRINCIPES ISSUS DES CONSULTATIONS NATIONALES - DE L'AMOUR
***
DIDACTIQUE, TAC, TIC-TAC, TACTIQUE DIDACTIQUE
Liens annexes :
Principes issus des consultations nationales
Consultations des usagers de l'École
CULTURE GÉNÉRALE, GRANDE CULTURE, VULGARISATlON,
ENCYLOPÉDISME PÉDANT OU DILETTANTISME CULTUREL ?
La culture générale, telle qu'on la comprenait naguère n'est plus tellement prisée des instances hiérarchiques de l'Éducation nationale.
Selon les formateurs de formateurs et formateurs eux-mêmes, le maître n'aurait guère besoin d'une grande
culture. Du reste, les érudits locaux qu'on en trouvait encore après-guerre, dans les écoles et Écoles
normales primaires, n'existent plus vraiment...
"L'enfant doit construire lui-même savoir." Oui, peut-être, mais comment ? Construit-on d'ailleurs
autrement que soi-même son propre savoir ? Et, surtout, selon quelle médiation?
L'acquisition d'une culture générale est un processus infini, comme la
croissance quantitative et qualitative d'une bibliothèque. Il ne s'agit pas
d'accumuler des éléments de connaissances, mais d'établir des liens, des rapports, lesquels seront les
bases d'idées nouvelles.
Un maître cultivé hautement saura indiquer à ses élèves des pistes et des balises. Il leur apportera, dans
une relation qui interrogera l'ensemble du groupe-classe, un viatique indispensable.
DIDACTIQUE Le
lapin...
titre d'un exposé "classique" pour des enfants de Cours Moyen. Christophe
et Romuald ont préparé et présenté à la classe le résultat de leur
enquête. Mais l'ensemble des enfants, plus ou moins attentifs, le maître,
la polysémie et une sorte d'encyclopédisme fou attaché à
cette classe-là. Christophe
et Romuald vont tenter de nous asséner leur monographie lapinesque. Et
nous allons tout faire
pour les égarer hors des garennes rebattues. Non pas que le charmant
laporidé (rire de Romuald : la
peau ridée!) ne nous intéresse pas. Mais nous étions d'humeur vagabonde
comme le lièvre de la fable. Alors
nous avons flâné et les deux exposants furent bientôt contaminés par
notre puissance désorganisatrice. Au
cours de cette présente rédaction, j'irai encore plus loin, au-delà de
ce que la classe s'est autorisée par
pudeur et surtout par ignorance. Il s'agit de montrer comment l'on peut,
si j'ose dire, passer du coq à
l'âne, c'est-à-dire du lapin à... la moutarde, laquelle montant au nez
du lecteur nous plongera tout droit
dans l'univers olfactif d'un nez de parfumeur après un détour obligé
par le cataplasme, les médecines
empiriques, l'étonnante invention du Docteur
RIGOLOT, natif d'Amiens, qui mit au point le
cataplasme prêt à l'emploi sous la forme d'un vague carton imbibé de
farine de moutarde portant son nom. -
Attends, tu tousses des bronches. Je vais te mettre un rigolot. -
Oh
non, maman, ça pique ! -
Ah ben, faut ça, pour te débarrasser de tout le mauvais sang... Les
enfants sont "comme ça" ! dit une pub. Nous aussi.
N'allez pas voir là confusionnisme infantile, volonté stupide de courir
plusieurs lièvres à la fois. Il s'agit d'autre chose. Il ne s'agit pas
de courir le lièvre,
mais de le lever. Il s'agit d'opposer à la monographie carcanesque
l'ouverture en spirale de la multigraphie
où
ce ne sont pas seulement les faits et les connaissances qui importent mais
les "noyaux durs"
et les liens ana-logico-sensitivo-magiques qui peuvent se nouer entre eux. Pour
l'enfant banlieusard, citadin de naissance et de coutume, l'oeuf sort de
la boîte et la boîte du frigo. L'aporie
métaphysique de la poule et de l'oeuf ne peut avoir barre sur lui. Or
quiconque n'a pas connu au
moins une fois dans sa vie cette angoissante et fondamentale question n'a
pour ainsi dire pas vécu... Cet enfant serait étonné de voir traire une
vache tant il lui semble "naturel" que le lait coule, pasteurisé
et
dégraissé, des packs de carton de l'hypermarché. Il
faut réhabiliter l'hypercomplexité de la vache ou, revenons à nos
moutons, du lapin face à la trivialité abrupte
de la gondole mercantile qui ploie sous le fardeau des boîtes de bouillie
pour les chats. Cette gondole-là
ne passe sous aucun pont des soupirs. Elle ne berce aucun rêve. Elle ne
cache aucun amour si ce
n'est l'appât du gain. Il n'y a pas de lagune. II n'est que lacunes béantes
dans l'imaginaire consommatoire des ternes
pousseurs de caddies chargés jusqu'aux larmes sucrées de corn-flakes.
C'est donc sans carotte, ni bâton,
que nous invitons le lecteur à nous suivre dans le labyrinthe terreux du
lapin. Il
existe un lapin de garenne ou lapin sauvage. Il creuse des terriers avec
de nombreuses galeries. Louis XIV a fait construire la Galerie des glaces.
François MITTERRAND a fait creuser sous la pyramide du Louvre
une véritable galerie souterraine. Les mots lepus, leporis, lapin,
lièvre, labyrinthe, lavande ont sans doute la même filiation indo-européenne.
Loin de vouloir épater la galerie, il semble donc que le Président
ait pour les profondeurs réelles ou symboliques (le Panthéon de 1981)
une cohérence inclination. C'est
pourquoi il lui sera beaucoup pardonné. Animal
craintif, le lapin vit surtout la nuit. On le croise parfois dans les
phares des voitures. Il ne faut pas
le confondre avec le lièvre qui est d'une espèce voisine mais différente.
Il existe aussi le lapin domestique aux
races aussi nombreuses que celles des chats : ces races animales sont des
créations humaines. CORPS
: animal à sang chaud, vertébré, mammifère, le lapin a un pelage plus
ou moins épais (angoras), de
couleur variable, du fauve au blanc en passant par le noir, le gris, le
tacheté, etc... La peau sert à fabriquer
des vêtements fourrés. Avec les poils, on fait le feutre. De plus en
plus, et malgré la bonne volonté
évidente des lapins, le feutre est artificiel. TÊTE
: Partie préférée de mon grand frère. Moi, je préfère le croupion.
Ah ! passe que t'as déjà vu un lapin
avec un croupion. Eh ! Combien y a d'ailes à un lapin ? J'aime bien la
cervelle du lapin, mais pas les
yeux. Les anecdotes les plus sanglantes fusent concernant le massacre, le dépouillage des lapins domestiques. Les rumeurs de clapiers les plus folles explosent dans la classe. De quoi vous faire échouer à un quelconque C. A.P. ou faire baisser votre note lors d'une inspection. C'est qu'une classe doit être vivante, mais convenable. Ne vous laissez pas aller à évoquer vous-même la dissection des intestins de lapins sur les paillasses de l'École normale afin que se répande dans la salle de sciences nat ' une odeur fétide qui permettait à votre promotion de fumer en classe. Seuls les lapereaux sacrifiés sur l'autel de la science étaient dupes. La
tête est allongée, les oreilles sont mobiles. Généralement un de vos
élèves les a aussi mobiles. Démonstration.
Interrogation tourmentée du reste de la classe. Comment tu fais ? Les
yeux bombés sont placés sur le côté de la tête et non sur la face
comme ceux du chien, du chat ou de
l'homme. On imagine le champ de vision du lapin qui peut voir loin derrière
mais qui ne voit peut-être pas
le bout de son museau. Les bras de vos élèves s'écartent afin de
mesurer leur champ visuel. Si
l'un d'entre eux montre un angle de 45°, conseillez lui vivement d'aller
consulter un ophtalmo. La
lèvre (à ne pas confondre orthographiquement avec le lièvre) supérieure
est fendue d'où l'expression bec-de-lièvre
pour désigner une malformation congénitale chez l'homme. Cette lèvre
est en continuel mouvement. Le lapin est un rongeur. Comme le castor, le
cobaye, le hamster. Non ! pas la vache ni le dromadaire qui sont des
ruminants. La moitié de la classe ronge, l'autre rumine. Vous aboyez,
histoire de
remettre le lapin sur ses rails. Cependant,
vous ne résistez pas au plaisir de raconter ces croyances anciennes. Si
une femme enceinte était
effrayée par un géant des Flandres, elle risquait de mettre au monde un
enfant porteur d'un bec-de-lièvre. TRONC
ET MEMBRES : Le tronc est allongé, l'arrière-train ou bassin est large,
la poitrine est étroite. Les pattes de devant sont courtes et servent
avec leurs griffes (non rétractiles) au creusement du terrier. Les pattes
postérieures sont longues. Le pied est très grand par rapport à la
longueur totale du membre. Au
repos, les pattes arrière ont la forme d'un Z. Ce Z se déplie
brusquement et permet au lapin de progresser
par longs bonds. Le lapin est un animal sauteur. NUTRITION
: Le lapin est un herbivore. Ses incisives sont longues et puissantes,
elles se développent continuellement.
Pour les affûter et les user, le lapin doit toujours ronger quelque chose
d'assez dur comme
du bois. S'il
n'a
rien à ronger, le lapin domestique
peut mourir de faim car ses incisives très longues finissent par
lui obstruer la bouche. Les aliments coupés par les incisives en forme de
bêche sont écrasés par les molaires.
Le lapin n'a pas de canines. Le lapin de garenne ronge l'écorce des
arbres, les racines. À cet égard, il est considéré comme nuisible
d'autant qu'il se reproduit très vite. REPRODUCTION
: Le lapin est le symbole de la reproduction rapide et du coït court mais
répétitif. D'où l'expression "chaud-lapin". Trois fois par
an, chaque lapine met au monde de 4 à 10 petits. Les lapereaux
domestiques, comme les faons, ne doivent pas être touchés par des mains
étrangères car la lapine,
ne reconnaissant plus l'odeur de ses petits, les abandonnera ou les dévorera
(rappel : le lapin est un herbivore mais...) Si
l'on prend comme base 6 lapereaux par portée, un couple de lapins peut
donner naissance à 6 fois 3 =
18 lapins par an. Si sur ces 18 lapins, 9 sont des lapines, adultes, au
bout d'un an, ces 9 lapines donneront à
leur tour 18 lapins des deux sexes, soit 18 fois 9 soit 162. Si on compte
chaque fois une moitié de lapines,
on arrive vite à des chiffres inquiétants. C'est ce qui est arrivé
lorsqu'on a voulu introduire le lapin
en Australie. L'Australie
est une île-continent de l'Océan pacifique. Elle possède des espèces
animales et végétales tout à fait spécifiques comme les marsupiaux et
plus précisément le kangourou, le koala ; un animal étrange
et inclassable quoique rangé dans la catégorie des mammifères :
l'ornithorynque ; l'acacia et l'eucalyptus...
Pourquoi ? Parce que la paléo-géographie nous apprend que lors de la
fracture du proto-continent Pangée,
l'Australie s'est détachée précocement du reste des terres et a dérivé
seule, vers le sud-est. Pendant ce temps, l'Eurasie, l'Afrique et
l'Amérique restaient encore soudées par de nombreux isthmes qui
permettaient les échanges biologiques. Isolée, l'Australie a suivi sa
propre évolution et a conservé des espèces primitives que les autres
continents ont perdues. Inversement, l'Australie
ne connaissait pas certaines espèces animales jusqu'à l'arrivée de
l'homme blanc. L'Australie était
habitée depuis 16 à 30 000 ans (les experts sont en désaccord) par les
Aborigènes de type négroïde
et de petite taille. A partir de 1770, les Anglais débarquent en
Australie. On estime le nombre d'Aborigènes à cette époque à
300 000. En 1945, ils ne sont plus que 47 000 non métissés. Les Aborigènes
sont une "espèce" protégée depuis 1967. Cela n'empêche pas
un lent génocide. En 1788, les Anglais
envoyèrent des bagnards en Australie. Ces forçats fondèrent une colonie
australienne anglo-saxonne qui, évidemment laissa peu de place aux Aborigènes. Un
colon australien eut l'idée d'amener en Australie des lapins de garenne
pour concurrencer les kangourous. Les lapins, comme les rats n'existaient
pas en Australie. Les rats y furent introduits involontairement, avec les
chargements des bateaux venus d'Europe. Les lapins furent installés volontairement.
Ils proliférèrent rapidement au point qu'ils devinrent un véritable fléau
et qu'on dut en abattre des milliers. En effet, les lapins,
herbivores, broutaient l'herbe destinée aux moutons, autre espèce
animale qui n'existait pas en Australie avant 1820. La chaîne écologique
avait été rompue. Les L'Australie,
par sa "faune-relique" nous a montré des éléments possibles
de la généalogie de la Vie : La
cosmogonie, la paléo-géographie, la théorie de WEGENER qui a débouché
sur la dérive des continents
et la tectonique des plaques, la paléontologie, la préhistoire,
l'ethnologie et, plus généralement ce
qui renvoie "aux sources" fascinent les enfants. Ils portent de
même un grand intérêt atout ce qui est atypique
voire tératologique. Le
lapin nous a permis de déboucher sur un continent qui a réveillé tous
ces intérêts. Quittons les immenses
troupeaux ovins des antipodes et revenons à nos lapins. Le
lapin possède des pattes postérieures très développées qui en font un
animal sauteur. D'autres mammifères
sont des sauteurs. Le kangourou est équipé de surcroît d'une queue qui
l'équilibre. -
La sauterelle, la puce sont aussi des animaux sauteurs, M'sieur. -
Oui, mais est-ce que ce sont des mammifères ? -
Non, ce sont des insectes ! - Alors, ce sont des vertébrés ? (Une
voix) - Oui ! Il
faut alors re-définir les vertébrés, les invertébrés, les arthropodes
qui portent leur squelette comme une
carapace chitineuse alors que nous enveloppons notre squelette d'une masse
musculaire et viscérale. À
cette occasion, on peut alors dégager des concepts-structures. Animaux
sauteurs (insectes compris). Un
déséquilibre entre les pattes antérieures et les pattes postérieures
est nécessaire. Vertébrés. On retrouve
dans tous les cas une colonne vertébrale ou une proto-colonne chez les
premiers de cordés, un crâne,
une ceinture scapulaire où s'attachent une paire de membres antérieurs
(ou supérieurs chez les bipèdes)
et une ceinture pelvienne ou bassin sur laquelle s'attachent les membres
postérieurs (ou inférieurs),
À partir de ces structures-clés, on peut tout imaginer, c'est-à-dire
tout ré-inventer, de la chauve-souris
au phoque, du cheval au doigt sur-dimensionné au serpent qui rampe sur
ses vertèbres ou sur
ses côtes. Nous
sommes loin, on le voit de la monographie. C'est dire qu'il faut là
une aptitude à discerner ce qui est commun entre différentes
monographies afin d'en tirer des lois générales et ce qui est différent
afin de montrer la singularité du Vivant. C'est dire qu'il faut aussi un
esprit encyclopédique capable d'établir les
liens analogiques, les relations causales, les effets et méfaits-bienfaits
du langage. Nous
n'avons que brièvement abordé les questions d'ordre
"culturels" mais on voit aisément déjà toutes les pistes de
recherche possibles à partir de cet exemple anodin. Il n'y a pas là
artifice. Le développement arborescent,
multidimensionnel de la recherche est le fait du groupe-classe et de ses
intérêts du moment. Demeurons proches des enfants en abordant les lapins célèbres. Il y eut d'abord le Jeannot-lapin mythique des fabulettes et comptines. En 1926, Walt DISNEY dessine Oswald le lapin qui est en réalité le prototype de Mickey Mouse qui verra le jour en 1927. Le lapin a accouché d'une (universelle) souris... DISNEY reviendra au lapin avec un second couteau présent dans "Bambi" : PAN-PAN. Il suffit d'avoir observé un clapier pour avoir été frappé par les clapotements vifs des pattes arrière du lapin sur un sol dur. Pan-pan lui, va plus loin, puisqu'il swingue avec ses congénères. Ces lapins-là sont bien élevés. En 1944, Tex AVERY crée le personnage de Bugs Bunny. Depuis...
"Quoi de neuf, docteur ?" Restons
maintenant entre adultes de bonne compagnie. Le lapin vieux français est
le connil ou le conin. Très vite, et par analogie visuelle,
on assimile le conin au pubis féminin. Parallèlement et par synonymie avec
la peur stupide, connil ou conin se réduisent par apocope
en CON ce qui fait dire joliment à BRASSENS,
dans "le Blason", • des vers dans la pure tradition de ce
genre poétique né avec la Pléiade et chantant les ravissements des éléments
du corps féminin. C'est
que le con est devenu, par
extension, le sexe féminin tout entier, y compris dans ses parties
internes et succulentes : "Elle
avait un petit con soyeux qui m 'allait comme un gant. "
- Henry MILLER - SEXUS. La
toponymie ne laisse pas de surprendre à son tour. Ainsi peut-on trouver
dans le Val de Marne un Villeroy-Chauconin.
Ce bourg charmant est vraisemblablement porteur d'une longue histoire.
Villeroy, ville
du Roy, ville affranchie par le Roy. Chauconin, c'est-à-dire, depuis le XIIIième
siècle, "chaud lapin".
Qui ? Le Roy ? Les habitants ? Ou bien CHAU vient-il du verbe chaloir
: le conin nous chaut. Il nous
agrée. Il nous est agréable et précieux... Michel DEBRAY
...C'est
la grande pitié de la langue française Georges
BRASSENS - LE BLASON
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DIDACTIQUE
LES NOUVELLES DROITES
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DIDACTIQUE
TABLE DES CARRÉS: Rien au carré = rien 1 au carré = 1 EXPRESSIONS & LOCUTIONS
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DIDACTIQUE LORSQU'IL VOIT L'OMBRE D'UN CHIFFRE, UN SEMBLANT DE MATHÉMATIQUE, FABRICE PERD TOUS SES MOYENS.
- Non, vraiment, pas d'idées ? - Moi, c'est tous les jours pareils. Un énorme
plaisir à venir à l'école. Pareil. - Oh oui, Monsieur. Comme vous voulez. Oui. Si vous voulez... Mais moi,
c'est toujours le même plaisir. J'ajoute que le père de Fabrice était
décédé brutalement quelques années auparavant et que
"bizarrement" Fabrice, fils unique, "butait" sur le
nombre cardinal 3... Mais n'est-ce pas tomber dans le
"psychologisme" ? ***
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